Noir désir : montage ces gens là
envoyé par Seb Lemoine

Débats Sociaux

Ce blog est dédié à un questionnement éninemment social: qu'est-ce que l'espace public aujourd'hui (du moins en France)? A partir d'un certain regard sociologique, nous vous invitons à réfléchir sur les questions de savoir ce qu'est le débat public aujourd'hui et sur la manière dont il se constitue.

vendredi 30 novembre 2007

Comment définir le débat public

Aujourd'hui le débat public prend un nouveau visage...
L'expérience que nous vous proposons ici est de nous interroger sur la question fondamentale de savoir comment les connaissances, les lois, l'Etat, les instutions, les sciences, etc. sont à la fois présentées mais également de quelles manières elles se sont constituées...
L'espace public est un thèms social transversal qui peut être abordé par les notions précédentes...
Mais la véritable question est de savoir s'il existe véritablement un espace public dans lequel chacun des interlocuteurs est axé autour du même resgistre, avec les mêmes droits de parole et d'expression, en minimisant au maximum la notion bourdieusienne de violence symbolique, en faisant advenir un forme proche de l'Agir Communicationnel de J. Habermas?



Arno Klarsfeld arrose Robert Ménard
envoyé par Seb Lemoine


Quoiqu'il arrive, conservons la tête froide, tout en nous rappelant que chaque individu est tributaire de son propre vécu.

La manipulation est un art...mais l'artiste qui s'en éprend dépend de ceux qui l'ont inventé...



Pierre Bourdieu sur la télévision : Manipulateur Manipulé
envoyé par Seb Lemoine

mercredi 3 janvier 2007

Gauche ou Droite...?

Dans quelques mois arriveront en France les élections présidentielles (au mois de mai) et il est malheureusement trop tard, pour ceux qui ne l'auraient pas encore fait, de s'inscrire sur les listes électorales...
Pour les autres, il est temps de se poser la question de savoir pour qui allez-vous voter?
Je sais que nombreux d'entre vous ont déjà une idée précise, mais n'oubliez jamais d'écouter parfois votre esprit critique...
Selon les sondages, les dés seraient déjà jetés et le second tour serait un affrontement Gauche / Droite entre Ségolène Royale et Nicolas Sarkozy...
Concernant ce dernier, nous vous proposons de visionner cette petite vidéo...:




Le Vrai Sarkozy
envoyé par Seb Lemoine

Concernant la 1ère femme en France à être susceptible de passer le second tour des présidentielles, nous vous proposons un interview de Pierre Bourdieu qui la connaissait lorsqu'elle était encore étudiante...:


Gauche/Droite
envoyé par Seb Lemoine

Vous serez seul le jour des élections, alors prenez le temps, en toute conscience de bien peser le pour et le contre et de finalement faire le bon choix, le votre.

mardi 2 janvier 2007

Une idée c'est quoi?

Pas toujours facile d’avoir des idées…
Il faut souvent se creuser la tête…
Il faut parfois tout mettre en miette…
Mais le principal est là : il faut décider (ou des idées) !




Avant toute chose, je pense que l’idée la « plus géniale » doit être en lien avec une certaine forme d’universalité.
Je m’explique.

Raconter une histoire implique directement que celui qui l’écoute (ou la regarde) soit partie prenante de ce qui est dit et/ou fait. C'est-à-dire qu’il est très important de revenir à des données touchant le plus de monde possible. Ce qui ne veut pas dire pour autant que les idées présentes et présentées soit des formes vulgarisées, aseptisées et finalement abrutissantes (comme en font preuve certains programmes télévisés) de connaissances et d’histoires, bien au contraire, il est nécessaire que tout un chacun puisse, sans trop de mal, s’identifier et se projeter à l’intérieur de ce qui est raconté. Elément qui semble simple mais c’est de complexité dont il s’agit.

Par exemple, en (re)lisant un ouvrage sur les Templiers (ces célèbres chevaliers qui, de l’an 1000 au XIVème siècle, se sont ralliés autour d’un certain fanatisme religieux lors des « croisades »), j’ai appris que ce que recherchaient ces combattants du passé était avant tout la formalisation forcée et actantielle d’une mise en commun des toutes les connaissances et de toutes les religions.


A mon avis, toute histoire doit partir de ce postulat, mais en sachant bien sûr que cet objectif reste inatteignable.

Tous les sujets, toutes les thématiques peuvent être abordés. Le tout est de rendre les données cohérentes les unes avec les autres tout en constituant une intrigue (qui peut se résumer, par exemple, à savoir comment tel enfant va pouvoir ou non grandir en de bonnes conditions ; de quelles manières un véhicule partant du point A se rendra au point B, etc.).

En prenant l’exemple du plus grand best seller de tous les temps, la Bible, on apprend, même sans l’avoir lue (tant elle est ancrée dans une forme de savoir collectif instantané, du moins en occident), qu’elle traite de toutes les données universalistes (ou universalisantes) qui tendent à expliquer comment le monde est né, comment les hommes ont évolué, quels risquent ils encourent, en se focalisant finalement autour de l’histoire d’un seul personnage présenté comme le « fils de Dieu »…reste à la décortiquer plus en détail pour se faire une véritable image mentale de cette fabuleuse histoire.

Nous sommes tous des êtres humains (femmes et hommes) ne serait-ce qu’en parvenant à lire ces quelques lignes (ce qui ne veut pas dire que ceux qui ne peuvent le faire ne sont pas de « humains »), mais ressemblons-nous, en termes d’intégralité (d’identité tout comme de cognitivité) à nos ancêtres communs qui vivaient lors de l’ère glacière ?

Une histoire, inconsciemment ou non, de proche ou de loin, naît de l’Histoire des hommes, ou plutôt de leur(s) historicité(s).
Quels sont les éléments qui ont concouru pour nous permettre de nous trouver aujourd’hui dans la situation que nous vivons ? Cette « situation » elle-même en rassemble d’autres, elle met en coprésence autant de situations t qu’il existe d’êtres humains (c'est-à-dire, alors que ces lignes sont écrites –fin 2006– quelques 6 milliards 500 millions de situations différentes…). Mais de cette situation, d’une situation dépendent les autres situations. Si une seule situation n’existe plus, elle entraînera avec elle d’autres inexistences situationelles, d’autres individus qui ne seront pas en interaction, faisant qu’un nombre important de configurations sociales différentes ne puissent voir le jour.

Arrêtons nous un instant sur ces dernières lignes.
Imaginons par exemple qu’Albert Einstein n’ait jamais trouvé aucune de ses théories scientifiques sur la relativité. Bon nombre de scientifiques actuels ne seraient alors pas en train
[1] de potasser les théories en question puisqu’elles n’existeraient pas…ce qui ne veut pas dire que d’autres scientifiques n’auraient pas été à même d’établir eux même de telles théories…
La fameuse formule (universelle) E=mc² (dans laquelle E est l’énergie, m est la masse et c la vitesse de la lumière, la célérité), représentation par excellence de la connaissance actuelle, est aujourd’hui confrontée à une remise en cause par les « théories de l’infiniment petit », par les bases de la physique quantique. Or n’est-ce pas le même homme qui s’est penché le premier sur ces questions ? Si Einstein a pu mettre en exergue ses deux théories scientifiques universalistes, il n’en a pas entièrement vérifié la compatibilité. En ce moment même, des physiciens, des astrophysiciens, mathématiciens, etc. sont en train de réinterroger (bien souvent avec entrain) ces deux pans éminemment scientifiques réunissant toutes nos connaissances. Même si les chiffres sont erronés, seuls une quinzaine de paramètres pouvant prouver la compatibilité entre la relativité et le quantique ont aujourd’hui été mis à jour… ils sont au total quelques centaines…


Revenons à l’idée de départ : les idées formant les histoires (dépendant elles mêmes de l’Histoire) doivent être teintées d’universel si elles veulent retenir l’attention.
La vie d’un être humain peut encore aujourd’hui se résumer à la célèbre énigme que proposa le Sphinx à Œdipe : le matin il a 4 pattes, le midi il en a 2 et le soir il en a 3. Cette analogie marque les trois temps forts de la vie d’un être humain : le « matin », il est enfant, il se traîne « à 4 pattes » ; le « midi », il est adulte, il se dresse sur ses 2 jambes et vaque à ses activités ; le « soir », il est fatigué et doit s’aider d’une canne pour avancer.

Un des tout premiers facteurs d’universalité n’est autre qu’un critère on ne peut plus humain (puisque c’est l’homme qui l’a inventé) : le temps.

Aujourd’hui, une vie humaine représente environ 80 ans.
La planète Terre a quant à elle environ 4 milliards d’années.

Ces deux affirmations, mouvantes et fluctuantes selon les époques, nous donnent une idée (encore une) des deux extrêmes temporels humains. Afin de mieux l’éclairer, empruntons cette fois-ci aux archéologues une autre analogie temporelle :
Imaginons un instant que les 4 milliards d’années de notre « bonne vieille Terre » ne représentent qu’une seule et même année de 365 jours.
Dans ces conditions, la vie, en tant que bactérie unicellulaire, pointe le bout de son nez vers le mois de mars, les dinosaures apparaissent vers le mois de juin, et… l’homme dans tout ça ?

L’homme en tant que homo erectus –celui qui se tient debout– (dont on estime aujourd’hui à 7millions d’années l’apparition, avec la découverte de l’homme de Doubaï – espoir de vie – qui « vole » la première place à Lucie qui n’avait « que » 3 millions d’années) semble apparaître le 31 décembre de cette même année vers 8h30 ! Il commence à maîtriser le feu aux alentours de 18h45 (plus de 10 heures pour y parvenir !), Jésus naquit (et mourut 33ans plus tard) vers 23h59 et toutes nos avancées (qui, selon les postures analytiques, peuvent indifféremment être présentées comme des « retours ») technologiques ne représenteraient alors qu’une petite seconde, en partant des révolutions industrielles du milieu de XIXème siècle…

Mais que faire de ces données ?
Devenir humble très certainement, s’interroger sur le devenir de l’homme, futur en lien avec son passé, mais surtout obtenir la certitude que le temps, en tant que valeur « humainement universelle », est sans doute quelque chose d’à la fois très relatif et de paradoxalement universel…

Peut-être est-ce là une piste pour construire et raconter une histoire.
Le temps. En avoir, le perdre, se battre contre, en manquer, etc. tout en sachant que la dernière échéance de toute vie humaine est rythmée par un tic-tac ultime rappelant que l’existence n’est pas infinie (loin de là).

Car nous avons ici une donnée primordiale qui explique le désir d’évolution de l’homme : par peur de la dernière heure il met tout en branle pour organiser, rationaliser son temps d’existence. Chaque minute compte. N’était-ce pas Benjamin Franklin qui nous disait que « le temps est de l’argent » ?

Dès qu’il arrive sur Terre, l’enfant qui deviendra homme, désire plus que tout faire en sorte que son temps passé ici bas devienne quelque chose dont il se souvienne, dont les autres se souviendront. L’homme est un créateur.

Sans création, sans imagination rien n’aurait été possible.


Si Léonard (Da Vinci) n’avait pas rêvé le parachute plus de 400 ans avant son apparition, en aurions-nous aujourd’hui ? Certainement, tout comme les théories de la relativité auraient été démontrées sans Einstein, mais il n’en demeure pas moins que le « parachute léonardien » fonctionne. Cela a été prouvé en 2005 par un « sauteur » allemand.

Cet exemple, qui n’est peut-être pas le meilleur au vu de ce que ce fameux Léonard, qualifié tout autant de génie que de fou, nous rappelle cependant qu’il également a pu imaginé, en terme d’outil de destruction, de bien grandes « avancées ».
Bien avant la première guerre mondiale, il avait, en effet, pensé et dessiné le plan d’un véhicule qui correspondrait aujourd’hui à nos tanks…


[1] Dites vous bien qu’en ce moment, quelle que soit l’heure, des gens oeuvrent et s’échinent (ou non) à leurs tâches. Les différents fuseaux horaires existant recouvrent une amplitude de 24 heures (+ 12heures à l’Est / - 12 heures à l’Ouest). Si bien que si vous lisez ces lignes vers 18 heures en France, il est déjà minuit à Tokyo et seulement midi à New York…L’activité humaine est un flux tendu universel (voire galactique ?).

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lundi 1 janvier 2007

BONNE ANNEE 2007 : Voeux détournés de Chirac

Détournement de voeux merveilleusement effectué !!!
Bravo au réalisateur !

Amusez-vous bien, que vous soyez Manipulateur ou Manipulé !!!

;)

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